Raita de concombre
03/11/2015 18:37 par nanoulovesgaga
2 yaourts nature - 1 concombre coupé en petits dés - 2 CàS de menthe hachée - 2 CàS de persil - 1/2 càc de cumin - sel.
Dieu merci, ma mére a bien choisi cette parure, j'en ai vraiment besoin pour la porter avec mon caftan en fushia et noir (je posterai sa photo inchallah), laakouba la parure en diamant hhhhh.
Chorba frik - Salade - Salade de poivrons - Pizza
Un autre livre de Maupassant, je ne l'ai pas pris vraiment pour un roman mais une collection de ses brouillons . Au début, il parle des faits supernaturels, des phénoménes invisibles dont l'analyse rapproche à la démence et de l'autre monde, y avait de suspens, mais la fin a tout gâché, comme s'il écrivait avec patience et passion puis devenait pressé pour tout finir. Puis on trouve de toutes petites histoires qui me semblent aussi incomplétes ou bien qui manquent de quelque chose.
Bien qu'il est brouillé, le livre me reste un peu amusant, si seulement les histoires ont duré un peu plus longtemps, c'est ainsi qu'il me sera excellent.
J'adooooore cette chanson, j'aime beaucoup ses paroles, des fois je me sens toute "weirdo" quoique je ne me deteste jamais, jamais jamais, au contraire, je me sens toute "special" "so fu**ing special", je sais bien que je suis heureuse d'être moi-même et que je n'ai jamais souhaité d'être quelqun d'autre.
Quand ma mére est absente, je me sens un peu perdue, et la maison de ma vie je ne l'ai vu aussi silencieuse, un silence qui trouble, je fais tout pour faire passer le temps plus vite, pour éviter de réfléchir et éviter de trop penser, alors je cuisine un peu, je m'amuse à arranger un peu mes trucs, mes livres, la maison, je prépare ce que je ferai demain pour le déjeuner quand maman arrivera inchallah, je lis un peu et j'écris un peu, et je sors avec ma soeur si ça ne la dérange pas (ce que je faisait cet aprés-midi).
Avant, dormir toute seule m'éffarait, mais maintenant je n'ai plus de peur ni de souci, mais l'idée d'être loin de ma mére m'effare beaucoup, heureusement que demain je pourrai dormir à ses côtés inchallah.
Pauvre Emma, c’était très difficile ce qu’elle a enduré. Au début, elle se réjouissait de ce qu’elle faisait, elle était ravie de satisfaire ses caprices, ses envies, elle se laissait traîner pas ses folies passagères, tout en négligeant sa petite famille, tout en oubliant que c’était de l’adultère et qu’on pouvait la compromettre. Et à force qu’elle s’enfonçait dans ce qu’elle pensait que c’était son bonheur, tout type de problèmes et d’entraves venaient de nulle part. Elle a tout ruiné, et elle n’a regretté qu’à la fin, que lorsqu’elle s’éveillait de sa vie illusionniste. C’est à la fin qu’elle connaissait bien la valeur de ce qu’elle a eu, la valeur de son mari, la valeur de sa fille, mais c’était trop tard. Et c’est ce qui nous afflige le plus, on ne connaît la valeur de ce qu’on a qu’après la grande perte.
Ce qui m’arrive c’est surprenant, je sens que j’ai changé ou plutôt grandi, oui j’ai grandi, je ne me sens plus la même, les gens ne me reconnaissent plus, j’aime cette sensation de maturité, tout a changé, mes rêves, mes envies, mes vœux, mes goûts ont pris un tout autre chemin, ce qui était bon hier, il ne l’est plus aujourd’hui, je ne me sens plus futile, je ne donne plus d’importance à ce qui me paraissait avant important et aujourd’hui qu’un truc frivole.
Et pour me débarrasser de cette Iméne futile, j’ai commencé par brûler mon journal intime, je l’ai déchiré avant tout, puis je l’ai brûlé entièrement, tout simplement parce que je ne voulais plus le voir, je ne pouvais plus lire mes lignes sans en avoir le dégout envers moi même. Ce que j’ai écrit ce n’était guère indicible, au contraire c’était tout à fait normal, c’était mes souvenirs, mes histoires, mes jours de victoires et mes jours de défaites, mes heures de bonheur et mes heures de chagrin, je l’ai rempli aux fils de mes années espérant qu’un jour il parviendra à mes enfants, plus précisément à ma fille, mais j’avais une envie ardente de le déchirer, il me fallut le bruler. J’en ai les larmes aux yeux, c’était mes souvenirs, mes secrets, mes peurs, mes envies, mes rêves, mes sourires, mes larmes, ma vie, mon tout. J’ai tout perdu, au-delà de mes feuilles j’ai tout perdu, en réalité j’ai tout perdu, même en illusion j’ai tout perdu, j’ai perdu même mes amies, j’ai gâché toutes les chances qui m’étaient offertes, je m’en fuis de la réalité ver l’illusion, et me voilà j’ai perdu les deux, et ce qui me déchire le plus, c’est que j’ai perdu mon innocence, je ne crois plus à la bonté des gens, je ne crois ni en amitié ni en amour ni au bonheur, et d’une perte à une autre j’ai peur de me perdre, j’ai peur qu’un jour je ne pourrais plus me reconnaitre, et il ne me restera plus rien à perdre ni craindre alors. Mais d’un autre coté, je veux grandir aussi, je veux mettre fin à toutes mes craintes, mon cœur je le donne son droit à battre uniquement, quant à mon cerveau, il fera les affaires, je vais aimer avec et je vais me faire des amies avec, dites moi à quoi servent mes amies si elles se contentent de me voir triste, perdue et détestée ??!!! À quoi servent mes amies si elles ont tout ce qu’elles voulaient et ne veulent pas que j’aie ce que je veux ??!! D’ailleurs elles ne sont pas les seules, tous les gens qui prétendent de m’aimer ne veulent pas que je sois heureuse, ils veulent me voir pleurer, chagrinée, et accablée, mon bonheur les rend enragés. Ça m’affligeait au début, maintenant ils me sont assez perfides et inutiles pour que je m’en soucierai d’eux, c’est fini.
L’innocence c’est fini, les faux amis c’est fini, les illusions et les sous-entendus c’est fini, tout ce qui me ravageait un jour c’est fini, les gens qui me faisaient du mal et qui ne cessent pas de me le faire c’est fini.
Il est temps d’être égoïste, je ne veux que mon succès, je ne cherche que mon bonheur, je ne me soucie que de « Iméne ».
Mme de Clèves forme bien un exemple de la femme courageuse, fidéle et respectueuse. Malgré les galanteries et les aveux qu'on lui faisait elle n'y cédait pas, elle choisissait d'être fidéle à son mari même aprés sa mort. Elle se sentait coupable pour la moindre inclination pour un autre (Duc de Nemours).
My Calla lily , Rose, Aeschynanthus arayech.![]()
